- EAN13
- 9782072156359
- Éditeur
- Gallimard
- Date de publication
- 04/2017
- Collection
- Blanche
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782072156359
-
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
2.99 -
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
Max Jacob avait l'idée de donner un second volume à son célèbre recueil de
poèmes Le Cornet à Dés. Il avait, dans ce but, conservé beaucoup de
manuscrits. Le présent ouvrage est composé, d'une part, de poèmes déjà publiés
en revue (mais jamais en librairie), d'autre part, de très nombreux inédits.
Que sont ces poèmes du second tome, hélas posthume, du Cornet à Dés II ? Des
annotations pleines de fantaisie, grâce auxquelles on pénètre dans le domaine
mystérieux de la poésie moderne. "On trouvera ici, dit André Salmon dans sa
note liminaire, mêlés à des textes anciens, des textes plus récents et qui se
donnent tout de suite pour tels, par exemple le Ni Riche ni Pauvre qui nous
révèle l'emploi que Max Jacob eût voulu faire de la richesse : acheter toutes
"les maisons de la place devant l'abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire pour que la
Société des Monuments Historiques ne les abatte pas par politesse pour saint
Benoît sous le prétexte qu'elles sont trop pauvres. Outre qu'il y a là, dans
ce peu de lignes, mille traits profonds de l'esprit de Max".
poèmes Le Cornet à Dés. Il avait, dans ce but, conservé beaucoup de
manuscrits. Le présent ouvrage est composé, d'une part, de poèmes déjà publiés
en revue (mais jamais en librairie), d'autre part, de très nombreux inédits.
Que sont ces poèmes du second tome, hélas posthume, du Cornet à Dés II ? Des
annotations pleines de fantaisie, grâce auxquelles on pénètre dans le domaine
mystérieux de la poésie moderne. "On trouvera ici, dit André Salmon dans sa
note liminaire, mêlés à des textes anciens, des textes plus récents et qui se
donnent tout de suite pour tels, par exemple le Ni Riche ni Pauvre qui nous
révèle l'emploi que Max Jacob eût voulu faire de la richesse : acheter toutes
"les maisons de la place devant l'abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire pour que la
Société des Monuments Historiques ne les abatte pas par politesse pour saint
Benoît sous le prétexte qu'elles sont trop pauvres. Outre qu'il y a là, dans
ce peu de lignes, mille traits profonds de l'esprit de Max".
S'identifier pour envoyer des commentaires.