- EAN13
- 9782367782157
- Éditeur
- Kawa
- Date de publication
- 12/04/2019
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782367782157
- Fichier EPUB, libre d'utilisation
- Fichier Mobipocket, libre d'utilisation
- Lecture en ligne, lecture en ligne
13.99
Autre version disponible
-
Papier - Kawa 21,95
Comme le dit si bien Simone de Beauvoir « on ne naît pas femme, on le devient
». J’ai attendu 53 ans pour devenir celle que je suis aujourd’hui. Un
processus long, parfois douloureux mais extraordinaire d’amour, de partage et
de soutien.
Ma transition d’homme vers femme, je l’ai choisie du début à la fin, ma
particularité étant d’effectuer ce changement du jour au lendemain. Je suis
entrée à l’hôpital en tant qu’homme et en suis ressortie cinq jours plus tard
en tant que femme.
J’ai l’audace de croire que ce livre pourra aider d’autres personnes dans la
même situation, des parents, des proches, des amis. Leur donner une nouvelle
vision de ce que les personnes dysphoriques du genre vivent.
Céline Audebeau, bientôt 55 ans, expatriée en Asie depuis 13 ans, je vie seule
à Hanoï où je suis PDG d’une usine de 420 personnes.
« Je suis la plus heureuse des femmes, pas une seule seconde je n’ai regretté
mon choix. Dans mon parcours, je n’ai connu aucune réticence de qui que ce
soit, j’ai conscience d’être extrêmement chanceuse. Cette chance, je l’ai
construite au fil des années, il n’y a pas de hasard. Du jour où l’on
s’accepte, que l’on apprécie cette nouvelle image, l’on devient invincible. »
». J’ai attendu 53 ans pour devenir celle que je suis aujourd’hui. Un
processus long, parfois douloureux mais extraordinaire d’amour, de partage et
de soutien.
Ma transition d’homme vers femme, je l’ai choisie du début à la fin, ma
particularité étant d’effectuer ce changement du jour au lendemain. Je suis
entrée à l’hôpital en tant qu’homme et en suis ressortie cinq jours plus tard
en tant que femme.
J’ai l’audace de croire que ce livre pourra aider d’autres personnes dans la
même situation, des parents, des proches, des amis. Leur donner une nouvelle
vision de ce que les personnes dysphoriques du genre vivent.
Céline Audebeau, bientôt 55 ans, expatriée en Asie depuis 13 ans, je vie seule
à Hanoï où je suis PDG d’une usine de 420 personnes.
« Je suis la plus heureuse des femmes, pas une seule seconde je n’ai regretté
mon choix. Dans mon parcours, je n’ai connu aucune réticence de qui que ce
soit, j’ai conscience d’être extrêmement chanceuse. Cette chance, je l’ai
construite au fil des années, il n’y a pas de hasard. Du jour où l’on
s’accepte, que l’on apprécie cette nouvelle image, l’on devient invincible. »
S'identifier pour envoyer des commentaires.