- EAN13
- 9791023204360
- Éditeur
- Ink book
- Date de publication
- 04/2013
- Collection
- Littérature ésotérique
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Le cimetière d'Amboise [édition intégrale revue et mise à jour]
édition intégrale
Louis-Claude De Saint-Martin
Ink book
Littérature ésotérique
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9791023204360
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3.99
Citation (début du poème):
“J’aime à porter mes pas dans l’asile des morts.
Là, mourant au mensonge, il me faut moins d’effort
Pour comprendre leur langue et saisir leur pensée,
Car les morts ne l’ont pas, cette idée insensée,
Que tout s’éteint dans l’homme. En eux, tout est vivant.”
Un poème aux accents gothiques et au souffle naturellement ésotérique : Le
Cimetière d'Amboise, par le Philosophe Inconnu (avec une Préface de Papus).
Né à Amboise (1743-1803), Louis-Claude de Saint-Martin, dit le Philosophe
Inconnu, entre dans l'armée après avoir achevé ses études de droit ; nommé au
régiment de Foix, alors en garnison à Bordeaux, il y fit la connaissance de
Martinez de Pasqualis (ou Pasqually) en 1765, qui l'initie aux mystères de la
secte des Illuminés. Après avoir suivi Martinez quelques années, il rompt en
1771 et crée sa propre école. En 1788, il séjourna à Strasbourg, où Mme
Boeklin l'initia à l'œuvre de Jacob Boehme dont Saint-Martin traduisit
plusieurs œuvres.
Format professionnel électronique © Ink Book édition.
“J’aime à porter mes pas dans l’asile des morts.
Là, mourant au mensonge, il me faut moins d’effort
Pour comprendre leur langue et saisir leur pensée,
Car les morts ne l’ont pas, cette idée insensée,
Que tout s’éteint dans l’homme. En eux, tout est vivant.”
Un poème aux accents gothiques et au souffle naturellement ésotérique : Le
Cimetière d'Amboise, par le Philosophe Inconnu (avec une Préface de Papus).
Né à Amboise (1743-1803), Louis-Claude de Saint-Martin, dit le Philosophe
Inconnu, entre dans l'armée après avoir achevé ses études de droit ; nommé au
régiment de Foix, alors en garnison à Bordeaux, il y fit la connaissance de
Martinez de Pasqualis (ou Pasqually) en 1765, qui l'initie aux mystères de la
secte des Illuminés. Après avoir suivi Martinez quelques années, il rompt en
1771 et crée sa propre école. En 1788, il séjourna à Strasbourg, où Mme
Boeklin l'initia à l'œuvre de Jacob Boehme dont Saint-Martin traduisit
plusieurs œuvres.
Format professionnel électronique © Ink Book édition.
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