- EAN13
- 9782754830911
- Éditeur
- Futuropolis
- Date de publication
- 13/04/2022
- Collection
- Albums Futuropolis
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - Futuropolis 25,00
Le piroguier a une connaissance intime du fleuve et de ses fameux ' sauts '.
La forêt touffue qui borde le fleuve est plein de mystères et d’histoires
d’amour. Les chiens de Maripasoula errent en bande. Le Baklu est un démon créé
avec l’âme d’un bébé. Instituteurs, médecins, infirmières, gendarmes,
militaires, agents commerciaux, piroguiers, layonneurs et autres charpentiers
sont les travailleurs du fleuve... Les armes parfois parlent d’une rive à
l’autre. Mais l’enfance au bord du Maroni, dans cette France d’Amérique du
Sud, malgré la distance, malgré les cultures, est-elle au fond si différente
de l’enfance métropolitaine ? Les auteurs ont rapporté de leurs séjours sur
place (souvent ensemble et avec Olivier Copin, Guyanais d’adoption) l’envie de
faire un livre et de parler de cette France d’Amérique du Sud. D’une à dix-
huit pages, réalisées sur place ou non, fictions ou reportages, drolatiques ou
sérieuses, les histoires de Maroni composent une mosaïque de récits qui
s’interpénètrent, se répondent et forment, au bout du compte, un chant d’amour
pour la Guyane, son fleuve et ses peuples.
La forêt touffue qui borde le fleuve est plein de mystères et d’histoires
d’amour. Les chiens de Maripasoula errent en bande. Le Baklu est un démon créé
avec l’âme d’un bébé. Instituteurs, médecins, infirmières, gendarmes,
militaires, agents commerciaux, piroguiers, layonneurs et autres charpentiers
sont les travailleurs du fleuve... Les armes parfois parlent d’une rive à
l’autre. Mais l’enfance au bord du Maroni, dans cette France d’Amérique du
Sud, malgré la distance, malgré les cultures, est-elle au fond si différente
de l’enfance métropolitaine ? Les auteurs ont rapporté de leurs séjours sur
place (souvent ensemble et avec Olivier Copin, Guyanais d’adoption) l’envie de
faire un livre et de parler de cette France d’Amérique du Sud. D’une à dix-
huit pages, réalisées sur place ou non, fictions ou reportages, drolatiques ou
sérieuses, les histoires de Maroni composent une mosaïque de récits qui
s’interpénètrent, se répondent et forment, au bout du compte, un chant d’amour
pour la Guyane, son fleuve et ses peuples.
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