- EAN13
- 9791022614795
- Éditeur
- Anne-Marie Métailié
- Date de publication
- 10/01/2025
- Collection
- Bibliothèque Portugaise
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9791022614795
- Fichier EPUB, libre d'utilisation
- Lecture en ligne, lecture en ligne
- Fichier Mobipocket, libre d'utilisation
12.99
Autre version disponible
Publié par Albin Michel en 1994 et épuisé aujourd’hui depuis de nombreuses
années, ce premier roman de Mia Couto a surpris par sa créativité littéraire
due au mélange de la langue portugaise avec les nombreuses langues
mozambicaines.
Il a été traduit à l’époque par Maryvonne Lapouge dans un français classique.
Aujourd’hui il est traduit par Elisabeth Monteiro Rodrigues dont l’inventivité
linguistique, qui a fait le succès des romans récents de Mia Couto, lui rend
fidèlement la beauté surprenante de son style et son foisonnement linguistique
africain pour nous faire redécouvrir un roman brillant.
Sur une route déserte, un vieil homme et un enfant marchent, épuisés.
Alentour, un Mozambique déchiré entre troupes régulières et bandes armées.
Devant eux, un autobus, ou ce qu’il en reste : tôles incendiées, corps pêle-
mêle ; un asile, pourtant, où le vieillard et l’enfant vont faire halte et
découvrir, miraculeusement intacts, les cahiers d’un certain Kindzu.
Le récit de cet homme parti vers l’inconnu et l’aventure pour renouer avec
l’esprit des sorciers et des guerriers sacrés leur livrera peu à peu la clé de
leur destin.
Épopée fascinante et douloureuse d’un peuple en proie à la guerre civile, qui
survit enraciné dans ses traditions et ses mythes plus forts que toute réalité
barbare, cette œuvre magique puise dans l’imaginaire africain et rejoint, par
la beauté surprenante de son style, la grande tradition des romanciers de
langue portugaise, de João Guimarães Rosa à José Saramago.
années, ce premier roman de Mia Couto a surpris par sa créativité littéraire
due au mélange de la langue portugaise avec les nombreuses langues
mozambicaines.
Il a été traduit à l’époque par Maryvonne Lapouge dans un français classique.
Aujourd’hui il est traduit par Elisabeth Monteiro Rodrigues dont l’inventivité
linguistique, qui a fait le succès des romans récents de Mia Couto, lui rend
fidèlement la beauté surprenante de son style et son foisonnement linguistique
africain pour nous faire redécouvrir un roman brillant.
Sur une route déserte, un vieil homme et un enfant marchent, épuisés.
Alentour, un Mozambique déchiré entre troupes régulières et bandes armées.
Devant eux, un autobus, ou ce qu’il en reste : tôles incendiées, corps pêle-
mêle ; un asile, pourtant, où le vieillard et l’enfant vont faire halte et
découvrir, miraculeusement intacts, les cahiers d’un certain Kindzu.
Le récit de cet homme parti vers l’inconnu et l’aventure pour renouer avec
l’esprit des sorciers et des guerriers sacrés leur livrera peu à peu la clé de
leur destin.
Épopée fascinante et douloureuse d’un peuple en proie à la guerre civile, qui
survit enraciné dans ses traditions et ses mythes plus forts que toute réalité
barbare, cette œuvre magique puise dans l’imaginaire africain et rejoint, par
la beauté surprenante de son style, la grande tradition des romanciers de
langue portugaise, de João Guimarães Rosa à José Saramago.
S'identifier pour envoyer des commentaires.