- EAN13
- 9782369450658
- ISBN
- 978-2-36945-065-8
- Éditeur
- Éditions Dialogues
- Date de publication
- 03/05/2018
- Séries
- L'ironie de l'histoire (2)
- Nombre de pages
- 180
- Dimensions
- 21,1 x 13,5 x 1,6 cm
- Poids
- 226 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
2 - L'ironie de l'histoire - tome 2 Brève histoire philosophique de l'Union Soviétique
De Fabrice Bouthillon
Éditions Dialogues
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Les éditions Dialogues rééditent, sous le titre global de "L’Ironie de l’Histoire", la trilogie consacrée au phénomène totalitaire.
Le tome II, "Brève Histoire philosophique de l’Union soviétique", a pour objectif de montrer comment les logiques mises en place par la révolution française ont rejoué, au XXe siècle, dans la révolution russe.
Le chapitre I, « Sublime du Soviet », propose une analyse du phénomène révolutionnaire et de l’évolution vers la dictature qui lui est inhérente ; le chapitre II, « Pourquoi Lénine n’est pas mort à Gauche », s’attache à montrer comment le principal meneur de la révolution a pourtant pu, in extremis, échapper à la dialectique totalitaire dont elle était grosse ; le chapitre III, « Staline comme centriste » est consacré aux diverses formes du centrisme stalinien, tandis que le chapitre IV, « Un rebelle jüngerien, Krouchtchev », esquisse ce que peut être l’action politique en régime post-totalitaire.
Cent trente ans après la France de 1789, la Russie expérimente en 1917 le même phénomène révolutionnaire. La déchirure qu'il opère entre une Gauche et une Droite aboutira à une tentative totalitaire pour les réconcilier, le stalinisme reprenant la formule, tirée du bonapartisme, de centrisme par addition des extrêmes avec son slogan de « socialisme en un seul pays ».
Le tome II, "Brève Histoire philosophique de l’Union soviétique", a pour objectif de montrer comment les logiques mises en place par la révolution française ont rejoué, au XXe siècle, dans la révolution russe.
Le chapitre I, « Sublime du Soviet », propose une analyse du phénomène révolutionnaire et de l’évolution vers la dictature qui lui est inhérente ; le chapitre II, « Pourquoi Lénine n’est pas mort à Gauche », s’attache à montrer comment le principal meneur de la révolution a pourtant pu, in extremis, échapper à la dialectique totalitaire dont elle était grosse ; le chapitre III, « Staline comme centriste » est consacré aux diverses formes du centrisme stalinien, tandis que le chapitre IV, « Un rebelle jüngerien, Krouchtchev », esquisse ce que peut être l’action politique en régime post-totalitaire.
Cent trente ans après la France de 1789, la Russie expérimente en 1917 le même phénomène révolutionnaire. La déchirure qu'il opère entre une Gauche et une Droite aboutira à une tentative totalitaire pour les réconcilier, le stalinisme reprenant la formule, tirée du bonapartisme, de centrisme par addition des extrêmes avec son slogan de « socialisme en un seul pays ».
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