- EAN13
- 9782882505606
- ISBN
- 978-2-88250-560-6
- Éditeur
- Les Éditions Noir sur Blanc
- Date de publication
- 07/11/2019
- Collection
- Littérature étrangère / Voyage
- Nombre de pages
- 228
- Dimensions
- 23 x 15 x 1,9 cm
- Poids
- 353 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Journal d'un homme sans importance
De George Grossmith, Weedon Grossmith
Traduit par Gérard Joulié
Les Éditions Noir sur Blanc
Littérature étrangère / Voyage
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Le personnage principal de ce Journal est Mr Charles Pooter. C’est un employé modèle d’une firme de la City avec ses gaucheries, ses susceptibilités, ses admirations naïves, ses indignations, ses scrupules, ses gaffes, sa modestie, son désir de bien faire, son respect des hiérarchies et son sens de la dignité. Quoi qu’il nous soit décrit dans des situations souvent absurdes ou ridicules, il s’efforce néanmoins, de façon maladroite mais ô combien touchante, d’agir en toutes circonstances selon son éducation et avec une scrupuleuse honnêteté.
À l’instar des personnages de Dickens ou de Robert Walser, Charles Pooter appartient à la classe des gens d’en bas, ceux dont la vocation est de regarder avec admiration, mais sans envie, le monde d’en haut. Car le sel de la terre, contrairement à l’opinion romantique, n’est pas le héros, le roi, le prophète, le révolutionnaire, bref, le grand homme porteur de foudres et de tempêtes, c’est le petit, le tout petit bourgeois qui, rentré de son bureau, le soir, enfile ses pantoufles et débouche une bouteille de porto achetée chez l’épicier du coin pour fêter une augmentation de salaire.
C’est pourquoi Le Journal d’un homme sans importance se lit non pas comme un livre ordinaire, mais comme un évangile – livre d’un dieu ordinaire à l’usage d’hommes ordinaires.
Dans la presse :
« Le livre le plus drôle du monde »
Evelyn Waugh
À l’instar des personnages de Dickens ou de Robert Walser, Charles Pooter appartient à la classe des gens d’en bas, ceux dont la vocation est de regarder avec admiration, mais sans envie, le monde d’en haut. Car le sel de la terre, contrairement à l’opinion romantique, n’est pas le héros, le roi, le prophète, le révolutionnaire, bref, le grand homme porteur de foudres et de tempêtes, c’est le petit, le tout petit bourgeois qui, rentré de son bureau, le soir, enfile ses pantoufles et débouche une bouteille de porto achetée chez l’épicier du coin pour fêter une augmentation de salaire.
C’est pourquoi Le Journal d’un homme sans importance se lit non pas comme un livre ordinaire, mais comme un évangile – livre d’un dieu ordinaire à l’usage d’hommes ordinaires.
Dans la presse :
« Le livre le plus drôle du monde »
Evelyn Waugh
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