Revue Spirite (Année 1866), les cures d’obsessions, la loi humaine, le spiritisme indépendant, une vision de Paul Ier, le reveil
EAN13
9781788940214
ISBN
978-1-78894-021-4
Éditeur
Discovery Publisher
Date de publication
Nombre de pages
214
Dimensions
27,9 x 21,6 x 1,2 cm
Poids
630 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Revue Spirite (Année 1866)

les cures d’obsessions, la loi humaine, le spiritisme indépendant, une vision de Paul Ier, le reveil

Discovery Publisher

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Ce numéro de la Revue Spirite contient, entre autres, cures d’obsessions, la jeune cataleptique de Souabe, les femmes ont-elles une âme ? les rats d’Equihen, la loi humaine, le spiritisme indépendant, une vision de Paul Ier, le reveil du seigneur de Cosnac, la vue de Dieu, tentative d’assassinat sur l’empereur de Russie, un rêve instructif, le travail, mort de Joseph Méry, Mahomet et l’Islamisme, les frères Davenport, les phénomènes apocryphes, le zouave guérisseur du camp de Châlons, Saint Augustin accusé de crétinisme...
Un an après l’apparition du Livre des Esprits, Allan Kardec se rend compte de la nécessité d’une revue mensuelle. Mais pour fonder un journal, il faut avoir des fonds. Allan Kardec n’en a pas assez. Il s’adresse à M. Tiedeman, ami des spirites et d’Allan Kardec. Mais Tiedeman hésite. Pendant ce temps, Allan Kardec demande l’avis des guides, par l’entremise de Mme E. Dufaux. On lui répond de mettre son idée à exécution et de ne s’inquiéter de rien.
« Je me hâtai, dit Allan Kardec, de rédiger le premier numéro et je le fis paraître le 1er janvier 1858, sans en avoir rien dit à personne. Je n’avais pas un seul abonné, et aucun bailleur de fonds. Je le fis donc entièrement à mes risques et périls, et n’eus pas lieu de m’en repentir, car le succès dépassa mon attente. A partir du 1er janvier, les numéros se succédèrent sans interruption, et, comme l’avait prévu l’Esprit, ce journal devint pour moi un puissant auxiliaire. Je reconnus plus tard qu’il était heureux pour moi de n’avoir pas eu de bailleur de fonds, car j’étais plus libre, tandis qu’un étranger intéressé aurait pu vouloir m’imposer ses idées et sa volonté, et entraver ma marche ; seul, je n’avais de comptes à rendre à personne, quelque lourde que fût ma tâche comme travail. »
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