- EAN13
- 9782916248233
- ISBN
- 978-2-916248-23-3
- Éditeur
- Palémon
- Date de publication
- 11/10/2011
- Collection
- PALEMON-HORS CO (3)
- Séries
- Mamming (3)
- Nombre de pages
- 320
- Dimensions
- 18,7 x 11,7 x 3 cm
- Poids
- 300 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
3 - Mammig Tome III : Pêcheurs de haute mer
Pêcheurs de haute mer
De Jean Failler
Palémon
Palemon-Hors Co
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Mamming, 2, Mammig Tome II : Le temps des Malamoks, Le temps des MalamoksJean FaillerPalémon11,00
Dans les années 60, le port du Guilvinec est en pleine activité : le poisson abonde, la demande est forte, la prospérité est là.
Cependant, les marins vont s’apercevoir que les ressources de la mer ne sont pas inépuisables et qu’il faut aller de plus en plus loin chercher le poisson. Concarneau et Lorient arment désormais de grands chalutiers en acier qui pêchent par tous les temps.
Francis Carval sent qu’il est temps que le port du Guilvinec fasse sa mutation sous peine de stagner, donc de décliner. Il se lance alors dans l’armement avec des chalutiers en acier, nécessaires selon lui à procurer un approvisionnement régulier à la criée.
Tout ceci ne va pas sans heurts. L’expansion de la société Carval fait des jaloux.
Bientôt, son fils François vient le rejoindre, faisant preuve, lui aussi, d’une fièvre entrepreneuriale qui dépasse tout ce que son père avait imaginé. Progressivement, François va prendre la haute direction de la maison Carval et s’imposer comme le maître incontesté du mareyage bigouden.
En 1990 la crise de la pêche et les plans de réduction de flotte donneront un coup de frein à tout le mareyage français, mais, sous l’impulsion dynamique de François Carval, le port du Guilvinec sortira de cette crise pavillon haut.
Charles Carval, fils de François, ne prendra pas la suite de son père. Comme ses ancêtres, la mer le tient. Il sera pêcheur et il va vite devenir le premier patron de pêche du port…
Cependant, les marins vont s’apercevoir que les ressources de la mer ne sont pas inépuisables et qu’il faut aller de plus en plus loin chercher le poisson. Concarneau et Lorient arment désormais de grands chalutiers en acier qui pêchent par tous les temps.
Francis Carval sent qu’il est temps que le port du Guilvinec fasse sa mutation sous peine de stagner, donc de décliner. Il se lance alors dans l’armement avec des chalutiers en acier, nécessaires selon lui à procurer un approvisionnement régulier à la criée.
Tout ceci ne va pas sans heurts. L’expansion de la société Carval fait des jaloux.
Bientôt, son fils François vient le rejoindre, faisant preuve, lui aussi, d’une fièvre entrepreneuriale qui dépasse tout ce que son père avait imaginé. Progressivement, François va prendre la haute direction de la maison Carval et s’imposer comme le maître incontesté du mareyage bigouden.
En 1990 la crise de la pêche et les plans de réduction de flotte donneront un coup de frein à tout le mareyage français, mais, sous l’impulsion dynamique de François Carval, le port du Guilvinec sortira de cette crise pavillon haut.
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