- EAN13
- 9782493296122
- ISBN
- 978-2-493-29612-2
- Éditeur
- COMPAGNONS
- Date de publication
- 07/11/2023
- Collection
- QUELQUE PART,
- Nombre de pages
- 30
- Dimensions
- 19,5 x 14,5 x 0,2 cm
- Poids
- 55 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Le Cycle des pigeons est un recueil court écrit en vers libres.
Les poèmes évoquent Paris, sous la pluie ou le matin au printemps, à hauteur d’étudiant, d’enfant, de pigeon, de buveur de café, de serveur, de promeneur, de liseur de journal, de mangeur de croissant, etc..
C’est une rêverie sur la matière, la densité de la vie, sur ce qui en elle pèse son poids de fraîcheur, ce qui en fait cette vie-là et non je ne sais quoi de vaguement semblable mais sans fond, sans bord, sans grumeau, sans pluie, sans bogue et sans terrasse de café.
Ce qui pèse ici (le grain) tient par exemple à une déclinaison de gris, aux nuages, aux toits, aux plumes, à la fumée, à la buée mais aussi à des lumières assez chaudes. C’est un mélange de lumière, d’eau, de gris, de vert, de pierre, de roucoulement, de terrasse, de bicyclette, de journal, de jardin, d’escalier et de rue en pente.
J’ai écrit ce livre en pensant à des êtres aimés – des amis, des parents – parce que nous avons partagé ce monde de matinées grises, de printemps, de pigeons, de café, d’enfance, de temps qui flotte.
Finalement, qui connaît, qui mesure la place occupée par toutes les bordures, les arrière-fonds, les chansons diffusées au comptoir, l’odeur des marronniers au mois d’avril ?
Les poèmes évoquent Paris, sous la pluie ou le matin au printemps, à hauteur d’étudiant, d’enfant, de pigeon, de buveur de café, de serveur, de promeneur, de liseur de journal, de mangeur de croissant, etc..
C’est une rêverie sur la matière, la densité de la vie, sur ce qui en elle pèse son poids de fraîcheur, ce qui en fait cette vie-là et non je ne sais quoi de vaguement semblable mais sans fond, sans bord, sans grumeau, sans pluie, sans bogue et sans terrasse de café.
Ce qui pèse ici (le grain) tient par exemple à une déclinaison de gris, aux nuages, aux toits, aux plumes, à la fumée, à la buée mais aussi à des lumières assez chaudes. C’est un mélange de lumière, d’eau, de gris, de vert, de pierre, de roucoulement, de terrasse, de bicyclette, de journal, de jardin, d’escalier et de rue en pente.
J’ai écrit ce livre en pensant à des êtres aimés – des amis, des parents – parce que nous avons partagé ce monde de matinées grises, de printemps, de pigeons, de café, d’enfance, de temps qui flotte.
Finalement, qui connaît, qui mesure la place occupée par toutes les bordures, les arrière-fonds, les chansons diffusées au comptoir, l’odeur des marronniers au mois d’avril ?
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