- EAN13
- 9782414275656
- Éditeur
- Edilivre – Aparis
- Date de publication
- 14/09/2018
- Collection
- Collection Classique / Edilivre
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782414275656
- Fichier EPUB, libre d'utilisation
- Fichier PDF, libre d'utilisation
- Fichier Mobipocket, libre d'utilisation
- Lecture en ligne, lecture en ligne
4.99
Autre version disponible
Avec beaucoup de poésie et une infinie délicatesse, l’auteur dit les mots qui
l’unissent à sa bien-aimée, leurs échanges, la tendresse qui les unit. Des
poèmes courts, sans ponctuation aucune, des phrases justes, qui claquent, pour
évoquer la sensualité de sa belle, ses courbes envoutantes, sa nuque gracile
et l’attrait que toujours elle exerce sur lui. Comme lorsqu’elle chante,
qu’elle entonne une mélodie légère de sa voix pure. Puis il évoque le temps
qui passe, qui éparpille inexorablement. L’écran devient alors refuge, pour
faire jaillir encore un peu de vie. Seule reste la douloureuse absence comme
un rythme obsédant. Et dans l’émouvant « Parfois trop », l’auteur nous parle
avec pudeur de cette larme qui perle enfin au coin de l’œil, discrète et
bienvenue, qui soulage un peu. Enfin, il clôt son recueil avec le charmant «
Fée », qui figure la rencontre soudaine, merveilleuse, à laquelle on ne
s’attend pas, plus.
l’unissent à sa bien-aimée, leurs échanges, la tendresse qui les unit. Des
poèmes courts, sans ponctuation aucune, des phrases justes, qui claquent, pour
évoquer la sensualité de sa belle, ses courbes envoutantes, sa nuque gracile
et l’attrait que toujours elle exerce sur lui. Comme lorsqu’elle chante,
qu’elle entonne une mélodie légère de sa voix pure. Puis il évoque le temps
qui passe, qui éparpille inexorablement. L’écran devient alors refuge, pour
faire jaillir encore un peu de vie. Seule reste la douloureuse absence comme
un rythme obsédant. Et dans l’émouvant « Parfois trop », l’auteur nous parle
avec pudeur de cette larme qui perle enfin au coin de l’œil, discrète et
bienvenue, qui soulage un peu. Enfin, il clôt son recueil avec le charmant «
Fée », qui figure la rencontre soudaine, merveilleuse, à laquelle on ne
s’attend pas, plus.
S'identifier pour envoyer des commentaires.