La tragédie du Haut-Amazone, Avec 12 photographies hors-texte, 3 cartes et 2 documents
EAN13
9791041012541
Éditeur
FeniXX réédition numérique (Robert Noël)
Date de publication
Langue
français
Langue d'origine
français
Fiches UNIMARC
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La tragédie du Haut-Amazone

Avec 12 photographies hors-texte, 3 cartes et 2 documents

FeniXX réédition numérique (Robert Noël)

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9791041012541
    • Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
    7.99

  • Aide EAN13 : 9791041045877
    • Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
    7.99
Michel Perrin, âgé d’une quarantaine d’années, professeur à l’École
d’ingénieurs Bréguet de Paris, est connu du grand public depuis 1953, époque à
laquelle il se rendit dans le Haut-Amazone. Avant d’aller en Amérique du Sud,
il avait déjà fait de nombreux voyages. Il séjourna plusieurs fois en Afrique,
où il descendit en pirogue la Cazamance, traversa le désert de Lybie et, plus
tard, une partie de l’Égypte, et se rendit en mission en Éthiopie. En avril
1953, il entreprend un voyage d’études et de documentation scientifique en
Amérique du sud, patronné par le ministère de l’Éducation nationale et
l’UNESCO. Il se propose d’étudier les sources et la vallée de l’Amazone, géant
des fleuves du monde. Il commence par parcourir tout seul, pendant plusieurs
semaines, la Bolivie, sillonne en kayak le lac Titicaca, grand lac des Andes à
près de 4.000 mètres d’altitude ; puis, de Cusco, la cité impériale des Incas,
il parvient à 5.240 mètres aux sources véritables de l’Amazone, ce dont il
rend compte par des communications agréées par la Société de géographie du
Pérou, le Conseil national de géographie du Brésil, et l’Académie des sciences
de Paris, où il est exceptionnellement autorisé à prendre la parole pour
commenter les documents photographiques sensationnels qui mettent fin à la
controverse sur les sources de l’Amazone. Le tragique accident survenu le 15
août 1953, quelques mois après la détermination des sources, l’arrête,
définitivement semblait-il... En janvier 1955, quoique décalcifié à la suite
de ses terribles épreuves de 1953, et porteur d’un corset d’acier, Michel
Perrin repartait pour le Brésil. Il en est revenu récemment, après avoir
parcouru la région du Mato Grosso, appelée parfois “berceau de l’humanité”,
rapportant des documents exceptionnels qui sont, d’après le journal Combat,
“les vestiges d’une civilisation extraordinaire, que les préhistoriens ne
semblent pas connaître”.
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