Un roman magistral !
Texte incroyablement émouvant et magnifique, "Canada" est le roman de l’enfance à jamais perdue. C’est l’histoire de Dell, 15 ans (le narrateur) obligé du jour au lendemain de prendre son destin en main. Dès lors, sa vie d’Homme commence par l’absence, le vide et la solitude absolue… Ce roman est tout simplement magistral !
Une écriture dense, précise, riche
Il y a quelque chose de fascinant qui s’échappe du regard gris de ces trois sœurs. Trois femmes, trois parcours et trois volontés mais une seule voix. Comme souvent François Vallejo mêle la petite histoire à la grande, avec cette fois un élément nouveau : la vitalité des personnages, leur refus de subir leur existence, leur désir, au contraire de la vivre…dans le huis clos de la fratrie. Encore une fois, nous sommes surpris par l’originalité de l’univers de François Vallejo, encore une fois nous retrouvons avec bonheur son écriture, dense, précise, riche.
Une écriture dense, précise, riche
Il y a quelque chose de fascinant qui s’échappe du regard gris de ces trois sœurs. Trois femmes, trois parcours et trois volontés mais une seule voix. Comme souvent François Vallejo mêle la petite histoire à la grande, avec cette fois un élément nouveau : la vitalité des personnages, leur refus de subir leur existence, leur désir, au contraire de la vivre…dans le huis clos de la fratrie. Encore une fois, nous sommes surpris par l’originalité de l’univers de François Vallejo, encore une fois nous retrouvons avec bonheur son écriture, dense, précise, riche.
Un écriture dense, précise, riche
Il y a quelque chose de fascinant qui s’échappe du regard gris de ces trois sœurs. Trois femmes, trois parcours et trois volontés mais une seule voix. Comme souvent François Vallejo mêle la petite histoire à la grande, avec cette fois un élément nouveau : la vitalité des personnages, leur refus de subir leur existence, leur désir, au contraire de la vivre…dans le huis clos de la fratrie. Encore une fois, nous sommes surpris par l’originalité de l’univers de François Vallejo, encore une fois nous retrouvons avec bonheur son écriture, dense, précise, riche.
La force de Benoît Duteurtre réside dans sa capacité à évoquer son adolescence, les premiers engagements et autres émois, les découvertes littéraires et musicales, avec simplicité, humour et attendrissement. Remis dans le contexte des années 70, le texte n’en est que plus savoureux. Cerise sur le délicieux gâteau : des descriptions du Havre, l’évocation du lycée Saint Joseph… Duteurtre est l’écrivain sensible d’un autre temps. Épatant !